Communiqué à destination des opérateurs touristiques et de loisirs
L’année 2020 a vu apparaître ou se poursuivre des encadrements dits « sauvages » de certaines activités physiques de pleine nature (APPN). Certains prestataires, notamment en montagne, proposent d’encadrer des activités pour lesquelles ils ne sont pas formés et donc, pas assurés.
Petit rappel des faits et des bons réflexes à appliquer
Ces prestations illégales ne sont pas nouvelles, mais tendent à se confirmer, voire à augmenter dans certains de nos départements de montagne. Ainsi, l’UNAM est régulièrement alertée à propos de cas d’encadrement illégal, aussi bien en hiver qu’en été. L’environnement spécifique qu’est la montagne nécessite un encadrement de qualité et certifié. C’est bien à l’État que revient ce rôle de contrôle et de formation1, notamment à travers son École Nationale des Sports de Montagne (ENSM).
L’année 2020 a vu apparaître ou se poursuivre des encadrements dits « sauvages » de certaines activités physiques
de pleine nature (APPN).
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